Le circuit que nous vous proposons comme Qosqo, le Coeur de l’Empire vous invite à découvrir la capitale des derniers représentants de l’une des six civilisations les plus anciennes de l’humanité : la civilisation andine. Elle connu un développement endogène et autonome de plus de 5000 ans. Lorsque les conquistadors arrivèrent sur le territoire qu’ils appelèrent Pérou, ils se heurtèrent à une confédération d’environ 200 royaumes gouvernés à cette époque par l’Inca « Enqa » (en quechua, celui qui détient la force, le pouvoir ou l’énergie). La construction de cette confédération s’était effectuée en plus ou moins 170 ans ; les derniers peuples n’avaient été intégrés à l’Etat Inca que 30 ans avant l’arrivée des Espagnols. Ce territoire s’appelait le Tawantinsuyo ou la « Terre des Quatre Régions », un empire qui manquait encore d’unité. Il s’étendait alors depuis Pasto (Colombie) jusqu’à Mendoza (Argentine) et était jalonné par un réseau de chemins inca qui représentait au total plus de 42000km. Nous vous proposons de découvrir le coeur de ce grand empire, en approchant l’histoire, l’écologie la cosmovision des cultures andines, le secret des technologies, pour enfin découvrir et comprendre mieux, l’une des plus grandes merveilles actuelles de l’humanité : Machu Picchu.

En savoir plus sur le circuit

Vol pour Cusco et première découverte de la ville

La route de la connaissance Inca

Machu Picchu

Tarification

Nous consulter (selon disponibilité hôtelière et aérienne)

Informations pratiques "Pérou"

Formalités pour les ressortissants français Pas de visa nécessaire. Un passeport valide encore 6 mois après le retour du voyage suffit.

Heure locale Il y a 7 heures de décalage entre la France et le Pérou.

Santé Aucun vaccin n'est obligatoire. Il est toutefois conseillé de se prémunir contre le tétanos, la polio, l'hépatite A, la diphtérie, la fièvre jaune et la typhoïde. N'oubliez pas d'emporter de la crème solaire, le soleil d'altitude ayant un indice U.V. très élevé.

Altitude Le mal des montagnes peut survenir à des altitudes variables, parfois à 3000 mètres, le plus souvent à 3500 / 4500 mètres. Il est indispensable de faire un bilan de santé chez son médecin traitant avant de partir au Pérou, afin de vérifier que rien ne contre-indique un séjour en haute altitude. Un médicament contre les maux de tête est également indispensable. Pendant le séjour, bien se reposer, manger léger (la digestion est plus lente en altitude), s'hydrater plus.

Quelques repères (altitudes) : - Lima : 150 mètres - Arequipa: 2 300 mètres - Machu Picchu: 2 400 mètres - Vallée Sacrée: 2 800 mètres - Cuzco: 3 400 mètres - Puno/Titicaca: 3 800 mètres

Monnaie et change La devise péruvienne est le Nuevo Sol (PEN) qui est divisé en 100 centimos. Actuellement 1 euro = 3,76 soles (Aug. 14). L'Euro est maintenant accepté dans tous les bureaux de change des grandes villes mais le Dollar lui est souvent préféré dans les petites agglomérations...

Chèques de voyage / cartes de crédit Il est indispensable d'emporter des dollars, en petites coupures de préférence. La plupart des banques, des casas de cambio et des changeurs de rue acceptent les chèques de voyage (en dollars). La carte bleue internationale (Visa) est seulement acceptée dans les grandes villes, moyennant, parfois, une majoration de 7 à 10 % ou plus. Vous trouverez des distributeurs automatiques à Lima et dans les principales villes du Pérou. Des retraits en soles ou en dollars sont possibles.

Climat Les Péruviens entrent dans l'hiver au moment où nous abordons l'été. Les mois de juin à septembre (hiver austral) correspondant à la saison sèche dans la sierra, les Andes sont alors dégagées et lumineuses. Toutefois il peut tomber une pluie fine sur la côte, "la garua". De décembre à avril, le soleil brille sur la côte et la température oscille entre 25 et 30°C. Pendant l'été, de décembre à avril, la Sierra est ensoleillée le matin, parfois pluvieuse l'après-midi.

Habillement Il est recommandé de prévoir des vêtements confortables et pratiques car beaucoup d'activités se déroulent en plein air. De la crème solaire protectrice, des lunettes de soleil, un chapeau, un vêtement de pluie et des vêtements polaires pour les soirées seront également nécessaires.

Températures moyennes En avril : Lima 21°C, Cusco 13°C, Trujillo 22°C. En juin Lima 18°C, Cusco 11°C. En septembre : Lima 15°C, Cusco 11°C et Trujillo 21°C.

Electricité 220 volts (sauf à Arequipa). Les prises électriques reçoivent aussi bien les fiches plates américaines que les fiches rondes européennes, néanmoins par précaution il convient de vous munir d'un adaptateur.

Téléphone L'indicatif du Pérou est le 51. Pour appeler le Pérou depuis la France, il faut composer le 00 51 suivi de l'indicatif de la ville et des 7 chiffres de votre correspondant. Pour appeler la France depuis le Pérou, il faut composer le 00 33 suivi du numéro de votre correspondant (sans le zéro régional).

Région du Machu Picchu L'accès au site du Machu Picchu est désormais limité à 2 500 visiteurs par jour. Pour obtenir les billets d'entrée, nous sommes dans l'obligation de communiquer aux autorités locales certaines informations figurant sur le passeport des voyageurs, ces informations vous seront demandées au moment de votre inscription.

Si votre voyage inclut une nuit à Machu Picchu Pueblo, il est nécessaire d'emporter un petit sac de voyage pouvant contenir vos effets personnels pour la nuit, vos bagages resteront dans la Vallée Sacrée. Possibilité d'emporter un bâton de marche.

Place des Armes à Cusco
Etape 1

Vol pour Cusco et première découverte de la ville

À votre arrivée à Cusco, transfert et installation à l'hôtel.

Découverte de la ville de Cusco sous forme de promenade à pied. Vous visiterez dans un premier temps le Musée d’Art Précolombien (MAP). Déjeuner gastronomique traditionnel.

Cet après-midi, vous visiterez le Qoricancha : centre religieux mieux connu sous le nom de « Temple du Soleil ». Son impressionnante construction et sa finition remarquable illustrent toute l’ingéniosité de l’architecture Inca. Vous poursuivrez votre découverte de la ville par la visite de la Cathédrale. Monument religieux colonial d’une valeur artistique exceptionnelle, vous pourrez y apprécier des toiles du XVIIe siècle, de magnifiques sculptures indigènes ainsi que des chœurs et autels exubérants, entièrement faits d’argent. Située sur la Place d’Armes, à l’emplacement de ce qui fut le palais de l’Inca Wirachocha (Suntur Wasi), la cathédrale principale de Cusco a été construite en 132 ans. Sa réalisation a commencé en 1560 et s’est achevée en 1654. De style Renaissance, elle a une superficie totale de 4000m2 et une architecture en forme de croix latine avec 7 nefs et 10 chapelles latérales.

Ensuite, vous monterez en voiture jusqu’au site du Sacsayhuaman, une impressionnante forteresse de pierre dont certaines peuvent peser jusqu’à 12 tonnes située sur les hauteurs de Cusco.

Dîner-spectacle de danses traditionnelles et nuit à l'hôtel.

Etape 2

La ceinture du Pachatusan

Ce matin, départ pour Tipón.

Selon ses habitants, ce grand temple consacré à l’Eau date de l’époque des Wari, une importante civilisation, antérieure à l’Empire Inca (du Ve au XIIIe siècle après J.C.). Les connaisseurs pourront reconnaître de nombreux éléments de cette culture, ensuite assimilée aux Incas. A Tipón, l’acteur principal est l’eau. On y trouve de nombreuses terrasses, mais elles ne paraissent pas avoir été destinées à la culture intensive. On peut également y apprécier quelques-unes des constructions mineures du site : des chambres, un grand four pour cuire la céramique et des aqueducs de plusieurs kilomètres de long qui mènent l’eau depuis une lagune située dans les montagnes. Le silence, le vent, un paysage majestueux et le son de la chute de l’eau créent une ambiance très spéciale.

Vous découvrirez ensuite la ville Pré-Inca de Pikillaqta. A 12km de Tipón, nous visiterons le Parc Archéologique de Pikillaqta(3350m d’altitude), un ensemble de constructions préhispaniques. Étrangement baptisé en quechua « Ville des Puces » à la fin de la période coloniale, personne ne connaît l’origine de ce nom, ni quel en était l’original. Au départ, Pikillaqta était une ville satellite des Wari, qui avaient totalement assimilés les avancées des civilisations Nazca et Tihuanaco. Après leur inévitable débâcle, les Wari furent remplacés par les Chancas, un peuple aguerri qui dus affronter l’empire Inca émergeant et qui fut finalement vaincu. Depuis lors, les incas dominèrent la ville, habitée par des « mitimaes », les colons de cette époque. Dans ce complexe, de nombreuses constructions Wari sont encore visibles. Plus de 700 bâtiments, 200 canchas (patios) et de nombreuses maisons dont certaines à trois étages sont distribuées en blocs et rues droites. On estime qu’à son apogée, la ville était habitée par plus de 10000 personnes. Vers l’orient, on peut admirer l’imposante porte de Rumicollqa, où les visiteurs présentaient les offrandes qu’ils avaient préparées tout au long de leur vie. En effet, la « Ville des Puces » était une sorte d’antichambre de la capitale de l’empire.

Ensuite, vous irez déjeuner à Pisaq.

Cet après-midi, vous visiterez Pisaq. Ce grand complexe archéologique est situé dans le district de Pisaq, dans la province de Calca, à 33km à l’est de la ville de Cusco. Le mot espagnolisé de Pisaq vient du quechua p’isaqa, “gallinacée” car les oiseaux abondent dans cet endroit, en particulier la perdrix ou le lluthu. Selon une autre source non confirmée, la ville inca de Pisaq a la forme de cet oiseau qui fut la déité de la tribu tutélaire qui habitait cette zone avant les incas. À première vue, l’étonnement est inévitable, puis naît une sensation de profond respect pour les créateurs de ces édifices centenaires, témoins muets de la grandeur passée d’un empire. La beauté des murs construits avec d’énormes blocs de pierres polies et d’une extraordinaire symétrie, démontre une parfaite maîtrise du travail de la pierre, et laisse le visiteur admiratif. Pisaq est composé d’un ensemble d’enceintes, maisons, aqueducs, chemins, ponts, d’un cimetière, de murailles et de grandes surfaces cultivées en pallier selon les techniques Incas (andenerías).

Dîner libre et nuit à l'hôtel.

Moray
Etape 3

La route de la connaissance Inca

Ce matin, visite des ruines de Checoq. Le site de Cheqoq est interpellant à plus d'un égard. Des escaliers, des plate-formes, des bâtiments rectangulaires, dont les toits étaient peut-être de sorte de chaume, ici, de paille d'ichu. Il semble qu'il s'agisse essentiellement d'un groupe de grenier ou plus exactement de réfrigérateurs incas. Traditionnellement, les qolqas ou colcas sont des entrepôts destinés principalement à garder des réserves alimentaires dans des conditions optimales, hors situés dans des endroits frais. Une étude plus approfondie montre que non seulement ils étaient placés de façon à ce que portes ou fenêtres soient orientés vers des directions les plus froides, captant les vents les plus frais voire glacés de nuits. Mais ici des éléments supplémentaires apparaissent: d'une part des conduit intérieurs susceptibles de capter des courants d'air frais, mais pour un certain nombres d'entre eux il apparaît que l'air d'une certaine température n'est pas le seul élément réfrigération ou mieux de thermorégulation. Il semble qu'ici il y ait un contrôle hygrométrique et thermorégulateur.

Car dans l'embrasure des portes d'accès se distinguent nettement des canalisations d'évacuation d'eau. Les ingénieurs auraient combinés les effets combinés de l'eau et de l'air en certains conduits pour générer un véritable circuit de thermorégulation comme dans le principe d'un réfrigérateur actuel. Le vent frais canalisé par les conduits influe sur la température de l'eau et vice versa, maintenant un équilibre transmis aussi à la pierre et à la terre, enfin aux pièce ou espaces où sont entreposés les vivres et autres éléments à conserver. Après la visite de la ville, vous irez observer les habitants de Chinchero qui continuent à perpétuer le tissage tel que le faisaient les civilisations pré-incas. Vous apprendrez comment teindre la laine avec des plantes natives et comment fabriquer les fameux tissus andins.

Par la suite, vous vous rendrez à Moray. Groupe archéologique unique en son genre. Des creux naturels gigantesques sur la superficie du terrain furent utilisés pour construire des terrasses et « andenes » agricoles, ainsi que des canaux d’irrigation. La différence de température annuelle moyenne entre la partie supérieure et la plus basse, à environ 30m de différence, atteint les 15°C. Dans ces formations, la nature a créé un environnement, les conditions et les microclimats que l’homme moderne crée dans des serres. Moray, de par ses conditions climatiques et autres caractéristiques, fut un important lieu de domestication, acclimatation et hybridation des espèces végétales sauvages, qui furent ensuite modifiées ou adaptées pour la consommation humaine. Le site est un prototype de serre ou de station expérimentale biologique extrêmement avancé pour son temps. Il a contribué à ce que l’homme américain de l’Antiquité lègue à l’humanité, 60% des légumes qu’elle consomme actuellement et à ce que l’homme Andin consomme plus de 1500 espèces différentes de pommes de terre, plus de 100 espèces de maïs entre autres. Cependant, en raison des études scientifiques encore insuffisante, des énigmes sur ce lieu subsiste encore. Si les structures du site sont typiquement Incas, certains estiment que les terrasses inférieures sont des structures antérieures. L’une des énigmes concerne la forme du déversoir qui était utilisé pour l’écoulement de l’eau des canaux. On pense qu’il existerait pour cet effet des canaux souterrains. On estime également que le sol de ces terrasses est une formation rocheuse naturelle très poreuse qui facilite le filtrage de l’eau dans la terre. Il est vrai que même aujourd’hui, il n’y a jamais aucune inondation sur le site en période de pluie.

Par la suite, vous découvrirez Maras. Les salines de Maras existent depuis la période pré-Inca. Elles datent de l’époque où le sel était un bien précieux et rationné. Le sel était en effet un élément important pour le Pérou. Même s’il n’était pas une richesse à proprement parlé, il constituait un facteur de pouvoir, un produit de paiement à l’Etat, une offrande dans une époque où la conservation des aliments, de la viande, du poisson et des fruits de mer était pratiquement impossible sans un salage spécifique. Cela peut paraître étrange de nos jours, cependant, sa valeur passée était proportionnelle à sa rareté. Que celui qui doute de son pouvoir essaie de consommer du pain, de la soupe, de la viande ou des légumes sans un grain de sel… Le village de Maras est un témoignage intéressant, étant donné que ses habitants les plus riches essayaient d’illustrer leur pouvoir dans la société, par l’opulence de la porte d’entrée de leurs maisons. Celles-ci conservent encore aujourd’hui le nom des familles qui les ont construites. Les salines étaient situées dans un lieu insolite et surprenant. Des centaines de piscines de rétention du sel habillent les flancs de la montagne ; elles s’accrochent à un petit ravin qui débouche sur la Vallée Sacrée des Incas. Le sel arrive au ravin grâce à un petit ruisseau qui irrigue la partie gauche de la montagne. Ainsi, de grandes masses de sel se concentrent dans les entrailles de la montagne. Selon les habitants, des recherches ont déjà été faites afin de déterminer l’origine du sel et son volume total, cependant, aucune n’a donné de résultat. Lentement, le sel se dissout dans l’eau qui remonte à la surface. Ensuite, cette eau saturée est drainée par une infinité de petits canaux, jusqu’à des piscines dans lesquelles les quelques centimètres d’eau chauffée par les rayons du soleil s’évaporent peu à peu pour ne laisser que le sel au fond. Les familles concessionnaires de chaque piscine le récupèrent ensuite, les pieds immergés dans l’eau salée jour après jour. Les travailleurs commencent en grattant le sel retenu au fond des piscines ; ensuite, ils en font des petits tas qu’ils laissent sécher, avant de mettre le sel dans des sacs pour pouvoir le porter à dos d’homme, jusqu’à l’un des six greniers où il sera pesé. De nos jours, ce travail reste comme un labeur d’un autre temps, épuisant et qui génère un salaire de misère pour un produit qui existe et s’importe en quantité.

_Déjeuner à Urubamba.

Cet après-midi, vous visiterez Ollantaytambo. Dernier village Inca vivant, situé à 80km au nord-est de la ville de Cusco et à 40km du Macchu Picchu en train, dans la province d’Urubamba, le village d’Ollantaytambo se trouve à une altitude de 2792m. Du temps des Incas, les tampus était le nom donné aux villes-logements. Celles-ci pouvaient abriter des milliers de personnes grâce à leurs gigantesques greniers, leurs réseaux très développés de routes et leurs stations d’observation astronomique. Elles étaient également caractérisées par leur proximité de Cusco car le fait d´être situées sur une route principale de l’Incanat facilitait le repos des voyageurs vers les lieux de grande importance, telle la Citadelle du Machu Picchu. Chacun de ces tampus ou tambos devait son nom à une personne importante de l’Empire. Ainsi le tambo de Paucar était Paucartambo et celui d’Ollanta, Ollantaytambo. La singularité de ce dernier réside ni plus ni moins que dans son emplacement stratégique. Ce village inca présente des caractéristiques qui prouvent qu’il était habité par des membres de la classe privilégiée. Seuls Cusco et Ollantaytambo sont construits sur ce modèle : que ce soit dans la partie haute de la ville (à flanc de montagne) ou dans la plaine ou vallée, l’architecture des édifices est la même, ce qui différencie les deux villes des autres ensembles architectoniques d’origine inca. La partie résidentielle est composée de maisons aux murs en pierre taillée et aux portes de forme trapézoïdale. Le long des rues droites, l’eau court dans des canaux parfaitement dessinés. Aujourd’hui encore, derrière les murs de pisé d’influence coloniale subsiste l’essence de l’ancien village Inca.

En fin d'après-midi, train pour Aguas Calientes, dînier libre et nuit à l'hôtel.

Machu Picchu
Etape 4

Machu Picchu

Tôt le matin, vous commencerez l’ascension de l’imposante citadelle du MachuPicchu en bus. Vous pourrez observer les différentes techniques de construction et son architecture unique au Pérou. Entrée au Machu Picchu. Impressionnante et colossale citadelle, le sanctuaire historique du Machu Picchu est l’attractions touristiques de Cusco la plus réputé. Caché dans les montagnes et la forêt tropicale pendant 400 ans, le site a été découvert en 1911 par l’explorateur Etats-unien Hiram Bingham. Machu Picchu est un centre de culte et d’observation astronomique, et également le refuge privé de l’Inca Pachacuteq. Le complexe est composé de deux grandes surfaces, l’une agricole, l’autre urbaine qui abritent les temples, places et mausolées royaux construits avec une admirable perfection. Déjeuner libre en cours de visite.

Après votre visite, vous prendrez le bus de retour pour Aguas Calientes.

Dîner libre et nuit à l'hôtel.

Etape 5

Vol de retour

Transfert à l'aéroport et vol de retour.